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17 janvier 2019

trafic d'armes a feu

Le réseau criminel de trafic d’armes à feu des activistes neutralisé

 

La lutte acharnée contre les réseaux et trafiquants d’armes et de munitions continue sans répit pour les forces combinées gendarmerie, police et douane.

 

Les éléments de la Gendarmerie nationale viennent de démanteler un nouveau réseau criminel organisé transfrontalier, constitué de 10 éléments, spécialisés dans le trafic d’armes à feu et de munitions dans la wilaya de Boumerdès. Selon les indications fournies par la cellule de communication du groupement territorial de la Gendarmerie nationale de Boumerdès, ce réseau criminel international était spécialisé dans la contrebande d’armes et de munitions (de différents types et calibres) de fabrication étrangère. Des individus de nationalité étrangère ont été également arrêtés suite à une opération basée sur des informations fiables, selon la même source. Les mis en cause dans cette affaire ont été arrêtés en possession de 8 pièces d’armes à feu et de 3.000 balles de fabrication étrangère.
L’opération a également permis la saisie de divers outils utilisés dans la fabrication de munitions, outre des documents, des passeports étrangers, des téléphones portables, une somme de 20.000 DA et deux véhicules utilisés par les membres du réseau dans leur déplacement. A ce sujet, il important de rappeler que durant les mois passé, les services de sécurité relevant de la wilaya de Khenchela à l’Est ont accompli une opération sécuritaire réussit en fin du mois de mars 2017 qui s’est soldée par la neutralisation de 4 individus âgés de 25 à 40 ans qui étaient à bord de deux véhicules de marque Renault immatriculés à Alger en direction de la Tunisie. Il semblerait que le groupe de personnes possède un solide lien dans le trafic d’armes à feu avec des réseaux basés à l’étranger étant donné que lors de la fouille des voitures, il a été découvert des pistolets et plusieurs munitions, indiquent certaines informations plausibles.
La police de la brigade de recherches et d'investigations relevant de la sûreté de Tébessa a réussi aussi ces dernières 24 heures grâce à ses informateurs fiables à épingler un réseau de trafic d'armes à feu, de pièces d’armes et de munitions qui active à l’est du pays en étroite collaboration avec des complices étrangers qui leur fournissent des armes à partir de la Libye. La vigilance des services de sécurité a permis à neutraliser dans un barrage sur la RN 10, un véhicule Renault 21 à bord du quel deux trafiquants âgés de 24 et 42 ans d’armes en possession de 4 armes à feu de 5e génération de 12 mm, introduites illicitement en Algérie, a-t-on appris de sources concordantes. Leur troisième comparse âgé de 46 ans qui a été dénoncé fut appréhendé à 70 km de la wilaya, ce dernier assurait la vente des armes. D’après les enquêteurs, ce réseau transportait des pièces d’armes en empruntant des routes et pistes montagneuses afin d'éviter les points de contrôle, informe-t-on.
Agissant sur la base de renseignements fiables, les éléments de la gendarmerie d’El Tarf ont réussi ce 20 septembre 2014 à faire tomber dans leur filet deux membres appartenant un réseau de trafic d’armes qui étaient sous une surveillance de plusieurs mois. Les suspects âgés respectueusement de 30 et 40 ans, originaires de la localité d’Aïn Assel, ont été arrêtés en possession d’un pistolet, 3 fusils de chasse et des centaines de cartouches et balles diverses dissimulés dans le domicile de l’un d’entre eux situé dans la commune de Bogouss sur la frontière avec la Tunisie, apprend la Nouvelle République. Déférés devant le procureur de la république près le tribunal de Dréan, celui-ci les a inculpé de trafic d’armes dans un réseau organisé avant d’ordonner leur mise en détention préventive en attendant leur transfert vers le parquet de Constantine territorialement compétent.
Deux de leurs complices qui opèrent avec des Tunisiens dans la vente d’armes sont en fuite et recherchés activement par les services de sécurité, indique-t-on. Il faut savoir que la fin du mois de janvier 2014 n’a pas été un RS c'est-à-dire rien n’a signaler, mais plutôt une bonne capture pour les éléments de la police judiciaire de la wilaya d’El Tarf qui ont réussi après une minutieuse filature à arrêter un gang de trafiquants armés composés de 3 individus âgés de 20 à 50 ans originaires de la wilaya d’Annaba qui activaient dans les villes de Skikda, El Tarf et Annaba pour voler des véhicules en usant d’armes à feu achetés auprès de trafiquants d’armes liés à leurs activités criminelles, a-t-on appris de sources concordantes.
Les policiers qui ont agi sur la base d’informations ont pu mettre la main sur ces trois présumés auteurs de plusieurs vols de voitures et trafic d’armes, ces derniers ont été arrêtés en possession d’un pistolet de calibre 16 mm, 10 cartouches, un faux permis de conduire et des épées de diverses dimensions, informe-t-on. Le gang de malfrats a été présenté devant le parquet de justice d’El Tarf pour être jugés. Dans ce contexte, il est à souligner que durant l’année 2013, la Gendarmerie nationale a traité 2 affaires de trafic d’armes à feu impliquant 8 individus étrangers qui ont été pris en flagrant délit de possession de 30 armes de calibre 5,5 mm , 15 jumelles de vue, 3 armes de chasse et 4 cartouches. Ces trafiquants se sont infiltrés dans le territoire national à bord d’un camion chargé d’armes.
En outre, des informations fraîches communiquées ces dernières 48 heures font état d’une course poursuite déclenchée entre trafiquants dans cette région frontalière de l’est sur l’axe routier de la commune d’El Chatt. C’est en effet une voiture de marque BMW portant une plaque d’immatriculation tunisienne conduite par une femme accompagnée par ses complices fuyant à toute allure deux autres véhicules une 207 et une Peugeot 208 à bord desquelles se trouvaient des personnes armées d’un pistolet automatique. La poursuite s’est achevée à quelques mètres de la sortie de la ville sur la route menant à Boukhmira quand les services de sécurité ont coïncé les auteurs qui semblent être des trafiquants d’armes et de drogues en possession de 6 kg de kif et des pistolets, indique-t-on.

Les trafiquants d’armes à feu utilisent la bande frontalière est
Des informations communiquées par la Gendarmerie nationale d’El Tarf faisaient état d’arrestation de deux trafiquants d’armes capturés en janvier 2012 dans un barrage dressé au chef-lieu de commune d’El Ayoun. Or, les éléments de la gendarmerie ont appréhendé dans un barrage de routine une voiture suspecte abord de laquelle deux personnes qui faisaient un trafic d’armes à feu. Après une fouille minutieuse du véhicule, il a été découvert un kalachnikov et quelques centaines de cartouches de fusils de chasse, les malfaiteurs ont été arrêtés sur place, a-t-on appris de sources sécuritaires. Sur la base de renseignements, la police a de son côté frappé fort grâce à une perquisition qui a permis une saisie de deux fusils de chasse et trois cents cartouches dissimulées chez des trafiquants habitant la wilaya d’El Tarf qui ont été présentés devant le parquet, informe-t-on.
Dans cette optique, il faut rappeler qu’en novembre dernier, un réseau de trafiquants d’armes à feu fut neutralisé au port d’Annaba par les services de la douane qui ont durant une fouille des passagers venant de la France à bord du bateau El Djair 2 appréhendé un immigré qui était en possession d’une arme à feu avec quelques minutions il avait tenté de les faire introduire en Algérie. L’individu dont l’identité reste inconnu originaire, semble-t-il, d’une wilaya de l’Est avait été arrêté par la police pour un interrogatoire poussé. Devant cet acte, les brigades de police et de la douane ont multiplié leurs opérations de contrôle au niveau du port afin de pas laisser échapper autres infiltrations que ce soit drogue, arme, argent, or, souligne-t-on.
Cette opération réussie vient juste après celle qui a eu lieu il y a quelques jours avant dans la localité de Sidi Salem, distante de 5 km d’Annaba quand les éléments de la gendarmerie relevant de la section des recherches ont reçu des informations sur deux personnes qui sont mouillées dans le trafic d’armes légères notamment des pistolets. Agissant sur informations, les enquêteurs ont alors réussi à mettre hors d’état de nuire ces deux trafiquants en possession de deux pistolets dans cette localité populaire. A-t-on appris. A ce sujet, il faut signaler que partout dans la ville d’Annaba à chaque coin de rue, nous avons remarqué chez de nombreux marchands au noir la vente incroyable de toutes sortes d’armes banches de fabrication chinoise.
Une variété de lames impossible à imaginer mises en vente durant la période de l’Aïd El Adha. Sur le trottoir de la rue Émir Abdelkader, seule des centaines d’étals de vente de couteaux à cran d’arrêt et autres genres d’armes tranchantes ainsi que des sabres très dangereux étalés aux citoyens. Il n’y a qu’à se servir et c’est de là que presque tous les jeunes délinquants portent sur eux des couteaux qui s’en servent dangereusement au cours des bagarres et agressions sur des citoyens. Un véritable appel à la violence qui de nos jours est devenue omniprésente dans les quartiers de la wilaya en question. Bien que le port d’armes blanches est passible d’une peine de prison allant de 6 à 2 ans ferme.

Des trafiquants d’armes et de munitions condamnes à cinq ans de prison
Une affaire de trafic d’armes et de munitions a été traitée par le tribunal criminel d’Annaba en 2010 mettant en cause trois trafiquants répondant aux initiales de H. S., T. A. et H. M. originaires de l’est du pays qui avaient été arrêtés par les services des gardes-frontières le 18/9/2007 à bord d’un véhicule de marque Peugeot 405. Une fouille minutieuse fut effectuée par ses mêmes services qui avait permis de trouver dans la malle une quantité de 4 100 cartouches dont 3 578 de calibre 16 et autres de calibre 12 ainsi qu’un fusil de chasse, 100 cartouches vides, 6 kg de plomb et 40 capsules, apprend-on de sources judiciaires.
Le conducteur, une fois capturé, avait avoué à la Gendarmerie nationale avoir reçu une somme d’argent de 20 millions de centimes d’un certain individu T. A. résidant dans la localité de Benazouz à Skikda pour lui faire parvenir des sacs empaquetés et récupérés sur la bande frontalière algéro-tunisienne. Les enquêteurs de la gendarmerie avaient relié les relations et les contacts entre les détenus grâce à leurs appels téléphoniques qui avaient conduit à leur association dans un trafic d’armes, a indiqué l’arrêt de renvoi de la chambre d’accusation. Au procès, les détenus avaient nié les faits alors que le procureur général avait dressé un sévère réquisitoire contre eux. A la fin de l’audience, la cour a condamné H. S. et T. A. à cinq années de prison tandis que H. M. avait écopé de quatre ans d’emprisonnement ferme.

 

 

 

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