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30 avril 2018

ANNABA

Pourquoi le maire de la ville ne veut pas réagir ?

L’ex-président de l’Assemblée populaire de la wilaya d’Annaba et actuel sénateur, El Aïd Hadji, dans sa correspondance adressée en juillet 2013, au directeur du commerce de l’époque lui demandant de pouvoir aider le dénommé Aïssaoui Karim en l’intégrant, selon la loi au sein d’un des marchés de proximité pour subvenir à ses besoins.

Etant donné que cette personne âgée de 43 ans et père d’une fillette de 10 ans ne possède pas de revenu. Il l’informa aussi que le concerné avait été élevé par le centre des enfants assistés de la wilaya. En février 2010 dans un courrier officiel envoyé au maire de la ville dont le quel la directrice de l’action sociale a affirmé qu’il est obligatoire de prendre en charge les enfants de l’état en détresse et dans sa deuxième correspondance datée du mois d’août 2014, elle demanda une seconde fois au P/APC d’Annaba d’effectuer une autorisation à M. Aïssaoui pouvant lui permettre d’exercer un petit commerce dans la restauration «Bourek». Une année après cette demande en août 2015, le directeur du commerce répond au concerné que la demande du l’ex-P/APW était favorable, mais toujours en instance, indiquent les documents dont dispose la Nouvelle République. En août 2016 et après une année, le nouveau P/APW, Farouk Jeraia, a demandé au maire actuel de la ville d’Annaba d’exécuter les directives de la wilaya, sans faire de détours et que sa mission demeure au service des citoyens. Les maires sont placés pour régler les problèmes des habitants et servir leurs intérêts non pas pour se réfugier derrière les bureaux de l’Etat. Il lui ordonna donc de lui accorder un petit local pour un commerce. En février 2017, la même directrice de la DAS demande une dernière fois toujours au maire d’Annaba de lui attribuer un petit local de commerce pour qu’il puisse se prendre en charge mais toutes ses demandes et instructions sont malheureusement restées lettre morte sans aucune suite pouvant changer le calvaire de ce pauvre père de famille qui continue de frapper à toutes les portes des institutions de notre chère République algérienne démocratique et populaire, nous a-t-on fait savoir.

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